Louise V. LabrecqueLouise V. Labrecquehttps://www.themetropolitain.ca/articles/author/23engDali Le Magnifique??https://www.themetropolitain.ca/articles/view/1359https://www.themetropolitain.ca/articles/view/1359Dali moderne, – postmoderne avant son temps-,  se situe réellement dans ce continuum moderne, en marche sur un fil d’acier, – dire en équilibre serait exagéré, mais il tenta par son œuvre à libérer sa puissance créatrice de son narcissisme- en recherche incessante de points culminants s’imposant d’eux-mêmes. En ce sens, Dali ouvre la porte à tous les possibles, construit et déconstruit le genre avec son célèbre : «  le surréalisme, c’est moi! »   Louise V. LabrecqueFri, 29 Nov 2013 13:13:00 -0500Que Faire Maintenant?https://www.themetropolitain.ca/articles/view/1349https://www.themetropolitain.ca/articles/view/1349Nul n’est prophete en son pays et les traditions ont la vie dure.  Notre temps salue des ruptures que l’ont dit  necessaires .  Or, je prefere, et de loin, saluer l’invention, la continuite des connaissances.  Il y a une zone grise qui s’exprime ainsi :  Sapere aude ! , soit  le message celebre des Lumieres : « ose penser par toi-meme !» ou « aie le courage de te servir de ton propre entendement! »  De plus, Pierre Bayle a ecrit sur le deracinement, ce qu’il exige de l’homme, a savoir le droit d’ « une conscience errante ».  Et de la on suppose le defi irreconciliable avec une racine identitaire.Louise V. LabrecqueSun, 10 Nov 2013 15:26:00 -0500Un silence rempli d’éloquencehttps://www.themetropolitain.ca/articles/view/1286https://www.themetropolitain.ca/articles/view/1286Le silence des musulmans dit modérés a de quoi laisser pantois. Il vient un temps où il faut cesser de s’accouder à la fenêtre, pour enfin prouver au monde notre « extraordinaire vision ». En effet, aucun vœu pieu ne fera l’affaire : ce qu’exige maintenant tous les états éclairés de la communauté internationale, ce sont des preuves, des données tangibles, empiriques, irréfutables, exprimant hors de tout doute que l’Islam est bel et bien une religion de paix. Et si nous sommes un tantinet pressés, voire clairement agacés, c’est que la farce a assez durée : nous sommes las de ce scandale fondamental laissant croire en une paix puisant hypocritement son eau à la source des pires barbaries, du terrorisme, de la haine perverse et mortifère.Louise V. LabrecqueTue, 07 May 2013 16:39:00 -0400Henriette Dessaulles (1860 – 1946) : ces petites choses de notre Histoire.https://www.themetropolitain.ca/articles/view/1246https://www.themetropolitain.ca/articles/view/1246Originaire de Saint-Hyacinthe,  Henriettte Dessaulles épousa en  1881 Maurice Saint-Jacques, lequel mourut quelques années plus tard des suites d’une pneumonie.  Veuve avec sept enfants, elle se retrouve alors dans l’obligation de devoir gagner sa vie.  Sous divers pseudonymes, tant il était inconvenant pour les femmes de publier à l’époque, elle signa plusieurs papiers, dans divers journaux, notamment  Le Journal de Françoise, Le Canada, La Patrie, Le Nationaliste.  En 1911, son cousin Henri Bourassa fonda le journal Le Devoir où elle inaugura une chronique hebdomadaire : « lettre de Fadette », laquelle nous lègue pas moins de 1700 textes. Louise V. LabrecqueTue, 12 Feb 2013 15:54:00 -0500Un cynique chez les lyriqueshttps://www.themetropolitain.ca/articles/view/1165https://www.themetropolitain.ca/articles/view/1165D’abord, on se demande pourquoi un titre pareil. Puis, nous traversons le préambule pour découvrir les intentions de l’auteur, Carl Bergeron. Soudain, s’impose comme une envie d’en savoir davantage, de dévorer ce livre ou mieux, d’écrire, exactement de la même manière que l’on constate l’urgente nécessité, tous les printemps, de préparer le terreau afin que plantes, fleurs et fruits puissent planter ses racines. En fait, cela va encore plus loin que la parole ou l’écriture. Plus loin que la sensibilité. Nous parlons ici de cynisme, comme analyse symbolique et philosophique des films de Denis Arcand. En tant que rapport au monde également, dans un regard en surplomb -comme celui d’Arcand-, scrutant l’horizon au tant de l’intime que du collectif, notamment en ce qui a trait à la situation québécoise actuelle. Louise V. LabrecqueFri, 19 Oct 2012 11:30:00 -0400«Mille faces cachées»https://www.themetropolitain.ca/articles/view/1151https://www.themetropolitain.ca/articles/view/1151C’est dans une maison de la rue Saint-Hubert, à Montréal,  qu’habite le député d’origine iranienne Amir Khadir, lequel appelle à la non-liberté de commerce et  à l’apartheid israélien, notamment sur la rue Saint-Denis à Montréal, face aux boutiques Le Marcheur et Naot, lesquelles vendent des produits de marque israélienne. Sur la grande affiche, à côté de la porte principale, en gros caractères, est inscrit : « Quand l’injustice devient loi, la résistance est un devoir ».  Sitôt franchi le seuil, derrière ce paravent, une face cachée apparaît soudainement. En effet,  en se promenant dans le quartier, il n’est pas nécessaire d’avoir une loupe pour constater combien le député de Mercier suscite de vifs sentiments.  Il faut dire qu’en s’exaltant tantôt pour Martin Luther King, tantôt pour Mahatma Gandhi, il y a loin de la coupe aux lèvres. En effet, nous pourrions en rire si au moins c’était drôle.Louise V. LabrecqueWed, 18 Jul 2012 23:30:00 -0400Oz Bijoux: Cherchez la Femmehttps://www.themetropolitain.ca/articles/view/1121https://www.themetropolitain.ca/articles/view/1121C’est l’histoire d’une petite bijouterie de quartier. Le spectacle quotidien des commerçants, celui des gens de la rue.  J’écris cet article par solidarité à tous les artistes, qui travaillent durement, et souvent sans reconnaissance digne de ce nom.  Le printemps est revenu sur Saint-Denis.  Une rue pas comme les autres. Nous sommes à Montréal.  Le parfum des lilas n’a pas encore envahi la ville. Mais ça s’en vient… Louise V. LabrecqueFri, 18 May 2012 11:30:00 -0400Un film à l’écart des modes: Monsieur Lazharhttps://www.themetropolitain.ca/articles/view/1084https://www.themetropolitain.ca/articles/view/1084En littérature, l’œuvre se crée lentement : on bâtit mot à mot. Le lecteur va de même, qui appréhende le monument, dans le détail, à tout moment.  Le cinéma se poursuit dans ce continuum, avec, en prime, un autre niveau de lecture;  l’histoire trouve une autre incarnation, et se fixe visuellement au monde, comme pour ajouter à notre compréhension, et bien sûr à notre plaisir. Ainsi, j’étais joyeusement impatiente d’aller voir ce film : « Monsieur Lazhar », et je me souviens de la toute première fois que je l’ai vu, lui, ce professeur débarqué tout droit d’Algérie; je me suis dit : « quelle belle chose que le talent d’enseigner.»  Louise V. LabrecqueMon, 12 Mar 2012 15:00:00 -0400Une pensée en équilibrehttps://www.themetropolitain.ca/articles/view/1024https://www.themetropolitain.ca/articles/view/1024Justement,  je souhaite, par la rédaction de cet article, vous entretenir d’un livre intimement et entièrement associé à cette attitude philosophique : « PENSÉES pour vivre au quotidien», deuxième recueil de la très éclairée auteure et philosophe: Danièle Geoffrion, publié aux Éditions du CRAM.  De toute évidence, ce livre s’inscrit dans le continuum de la publication du premier recueil « Philosopher pour vivre au quotidien  - du sens et des mots -, tout en suggérant une ouverture pour aller plus loin en soi, plus profondément, afin de susciter l’envol  de tout ce que l’on porte enfouis, et qui ne demande, souvent, qu’à se laisser happer par la lumière de la réalité.Louise V. LabrecqueFri, 26 Aug 2011 14:30:00 -0400Ringuet, cet illustre inconnuhttps://www.themetropolitain.ca/articles/view/977https://www.themetropolitain.ca/articles/view/977Philippe Panneton, dit Ringuet (nom de sa mère), trifluvien d’origine et ensuite montréalais, écrivain et auteur du roman Trente arpents amène une réflexion sur nos origines.  Tel un monde oublié, le Dr Panneton illustre avec force et justesse, dans le livre Un Monde était leur Empire, notre préhistoire américaine.  Dans les manuels, nous nous intéressons en effet beaucoup plus à l’Europe qu’à l’Amérique. Ce fait s’explique aisément et il n’y rien là de quoi s’élever. Nous sommes bien un peu européens malgré notre transplantation il y a quelques siècles en sol québécois. Louise V. LabrecqueThu, 21 Apr 2011 15:00:00 -0400L’Islam est-il né dans un désert?https://www.themetropolitain.ca/articles/view/875https://www.themetropolitain.ca/articles/view/875Dans cinq ou huit langues différentes,  en fouillant bien, des savants ont trouvés des textes arabiques, qui n’ont aucune parenté avec l’arabe qu’on connait. Le défi, pour quiconque s’intéresse à l’avant-Islam, c’est de trouver des sources. Il faut donc, bien souvent, se tourner vers  la tradition orale et de la poésie archaïque, recueillis par les premiers savants arabo-musulmans (des milliers de textes antiques), souvent gravés sur pierre ou métal, espèces de graffitis  incisés par des passants sur les roches, le long des chemins et autres documents d’archives écrits sur des bouts de bois,  en alphabet cursif. En effet, cette diversité précède la conversion à l’Islam et porte le nom de Jâhiliyya ou « Age de l’ignorance »; en ce temps-là, la Mecque était une petite bourgade aux ressources limitées où la faim et la survie était lot quotidien de la population. Parce qu’elle n’a jamais été réellement conquise, l’Arabie n’est mentionnée qu’incidemment dans les sources orientales (annales  syriennes et la Bible).Louise V. LabrecqueThu, 09 Sep 2010 15:00:00 -0400LA DÉLIVRÉEhttps://www.themetropolitain.ca/articles/view/879https://www.themetropolitain.ca/articles/view/879Enfin!  Éva Circé-Côté est sortie des oubliettes pour entrer de plein fouet dans nos esprits, en même temps que sur les tablettes de nos librairies ! Il était temps, en effet, de dépoussiérer l’œuvre extraordinaire de cette grande dame, libre-penseuse, poète, dramaturge, journaliste, musicienne, et j’en passe !  Dans cent ans, ceux qui voudront comprendre le prix des combats contre l’ignorance et l’intolérance dans le Québec  des années 1900, s’épargneront de longues et austères recherches, s’ils consentent à passer au peigne fin le livre d’Andrée Lévesque “Éva Circé-Côté libre-penseuse 1871-1949. »Louise V. LabrecqueThu, 09 Sep 2010 10:00:00 -0400Démocratie et égalité des sexeshttps://www.themetropolitain.ca/articles/view/840https://www.themetropolitain.ca/articles/view/840Ce n’est même pas une question. Plus que jamais il faut repenser le féminisme afin de mieux comprendre la condition féminine actuelle. Diane Guilbault, l’auteure de cet extraordinaire petit livre : « Démocratie et égalité des sexes », interroge les liens complexes unissant le corps, la société, les religions, les cultes, les systèmes et les politiques, notamment les accommodements dit raisonnables.  L’éducation des filles, depuis toujours, englobe le corps et cerne tout particulièrement le sexe, organe de procréation. Ce faux pouvoir, les femmes l’ont appris par cœur, au travers des siècles de silence, de mimétisme, de séduction. Louise V. LabrecqueThu, 10 Jun 2010 02:00:00 -0400La réalité des choseshttps://www.themetropolitain.ca/articles/view/741https://www.themetropolitain.ca/articles/view/741Réfléchir à l’émergence des préoccupations culturelles dans l’arène publique, voilà ce que propose l’auteur Simon Brault avec son livre FACTEUR C.  Dans ce vibrant plaidoyer pour « la culture pour tous », l’auteur interpelle tant les artistes, les entreprises culturelles, les gens d’affaires, les journalistes, les politiciens, que l’ensemble des citoyens, afin de réfléchir tous ensemble à l’importance de la culture...Louise V. LabrecqueThu, 03 Dec 2009 13:00:00 -0500Ce n’est pas ma fêtehttps://www.themetropolitain.ca/articles/view/703https://www.themetropolitain.ca/articles/view/703J’aime beaucoup les anniversaires.  Ils nous invitent à déclarer des sentiments trop souvent tacites, qui vont sans dire, mais qui vont tellement mieux en les disant. Ils invitent aussi à la rencontre avec le passé, à des retours vers ce que l’on fête, à des prises de consciences renouvelées vers soi, comme l’air de dire : « J’ai eu de la chance ».  Ainsi, je m’amuse à évoquer les mille et unes réflexions se situant au cœur du dernier livre de Milan Kundera : Une rencontre.Louise V. LabrecqueThu, 01 Oct 2009 06:00:00 -0400« … et j’ai signé : Étoile »https://www.themetropolitain.ca/articles/view/684https://www.themetropolitain.ca/articles/view/684Nous vivons une époque exceptionnelle de l’histoire de l’humanité.  En effet, nous sommes enfin sortis des mythes anciens qui décrivaient, d’une manière ou d’une autre, la création de l’Univers.  En somme,  nous voilà sortis d’une vision du monde qui traçait invariablement une frontière entre le Ciel et la Terre, le Bien et le Mal.   Ces mythes plaçaient la Terre au centre de l’Univers, tel un nombril originel, et la religion était, de ce fait, profondément imprégnée des idées d’Aristote.  Toutefois, lorsque Galilée découvrit des détails astronomiques dans le Ciel divin, nous étions déjà passés de l’autre côté du miroir.  Et nous savons aujourd’hui l’impact que ses observations eurent sur l’avenir de la civilisation en général et sur la recherche scientifique en particulier. Louise V. LabrecqueWed, 02 Sep 2009 02:00:00 -0400Darwin: sur le fil très ténu d’une humeur simplehttps://www.themetropolitain.ca/articles/view/664https://www.themetropolitain.ca/articles/view/664 C’est tout bête? La sélection naturelle, l’adaptation au milieu, l’évolution des espèces, et quoi d’autre encore ?  Ah oui : les histoires de fous aux Galapagos, les singes qui parlent (on en connaît tous !), l’architecture de l’embryon, les fleurs musicales, les hirondelles de Tchernobyl et les batailles de mouches, constituent quelques exemples figurant au palmarès de ce livre extraordinaire, Darwin, cest tout bête, qui relate, avec un humour imparable,  la vie du célèbre naturaliste et scientifique Charles Darwin.  L’auteur, Marc Giraud, a frappé dans le mille, en proposant aux néophytes en la matière toute la rigueur de l’activité cérébrale de Darwin,  mais sous une forme ludique particulière, où l’interrogation se dresse de tous bords, tous côtés. Louise V. LabrecqueThu, 06 Aug 2009 05:00:00 -0400Un peu de dignité SVP ! (DATE DE PARUTION 30 OCTOBRE 2008)https://www.themetropolitain.ca/articles/view/591https://www.themetropolitain.ca/articles/view/591C’était un soir d’automne, un jeudi soir qui aurait pu être banal.  Je marchais en direction du théâtre St-Denis.   J’étais en avance au rendez-vous, un concert-bénéfice de la Fondation Garceau fondé e par Brigitte Garceau et l’Institut des affaires publiques de Beryl Wajsman, venant en aide aux démunis, notamment des enfants.  Je décidai d’entrer dans un café, et là, près de la fenêtre, je bus un allongé, en regardant la rue et les gens...Louise V. LabrecqueThu, 18 Jun 2009 15:00:00 -0400À contre-Coran (DATE DE PARUTION 9 AVRIL 2009)https://www.themetropolitain.ca/articles/view/603https://www.themetropolitain.ca/articles/view/603Comme on l’a vu durant les audiences de la commission Bouchard-Taylor,  plusieurs bien-pensants considèrent que notre société démocratique devrait se plier à toutes les revendications faites au nom de l’Islam.  C’en était trop pour Djemila Benhabib qui, dans l’éclairant ouvrage qu’elle vient de lancer, critique notamment le fait que, dans leur rapport, les commissaires Gérard Bouchard et Charles Taylor ont complètement négligé de faire la distinction entre « musulmans » et « islamistes », ces derniers étant de la graine de fanatiques et ne constituant, de ce fait, qu’une infime minorité parmi les immigrants de religion musulmane...Louise V. LabrecqueThu, 18 Jun 2009 10:45:00 -0400Devenir mozartien, un art aussi simple que l’amourhttps://www.themetropolitain.ca/articles/view/557https://www.themetropolitain.ca/articles/view/557En vue de l’écriture de cet essai, Émile Ortenberg semble n’avoir eu pour seule ambition que de vivre un message de lumière.  On constate à sa lecture que son propos se résume à merveille par cette seule idée, car c’est bel et bien dans cette optique que l’auteur rend compte de la lucidité, de l’amour et du bonheur que comporte la musique mozartienne, une musique à laquelle, d’ailleurs, de plus en plus de mélomanes accordent un statut tout à fait spécial...Louise V. LabrecqueThu, 28 May 2009 03:00:00 -0400On n’entre pas au désert avec le goût du chaoshttps://www.themetropolitain.ca/articles/view/534https://www.themetropolitain.ca/articles/view/534Dans les vingt nouvelles constituant ce livre, on constate un écrivain qui n’écrit pas pour s’éloigner des gens, mais au contraire pour essayer de s’en rapprocher.  Salah Benlabed nous révèle que s’il n’a jamais eu besoin de certitude et que, selon lui, tout est une entreprise à perte, c’est là qu’il veut tout de même travailler, c'est-à-dire dans une entreprise qui est humaine avant d’être littéraire.Louise V. LabrecqueWed, 06 May 2009 07:00:00 -0400À contre-Coranhttps://www.themetropolitain.ca/articles/view/511https://www.themetropolitain.ca/articles/view/511Comme on l’a vu durant les audiences de la commission Bouchard-Taylor,  plusieurs bien-pensants considèrent que notre société démocratique devrait se plier à toutes les revendications faites au nom de l’Islam.  C’en était trop pour Djemila Benhabib qui, dans l’éclairant ouvrage qu’elle vient de lancer, critique notamment le fait que, dans leur rapport, les commissaires Gérard Bouchard et Charles Taylor ont complètement négligé de faire la distinction entre « musulmans » et « islamistes », ces derniers étant de la graine de fanatiques et ne constituant, de ce fait, qu’une infime minorité parmi les immigrants de religion musulmane. Louise V. LabrecqueThu, 09 Apr 2009 11:00:00 -0400Le Bon Profhttps://www.themetropolitain.ca/articles/view/443https://www.themetropolitain.ca/articles/view/443Le Québécois David Solway, écrivain anglophone et poète reconnu qui s’est notamment mérité en 2004 le Prix littéraire de la ville de Montréal, est l’auteur de l’essai sur l’éducation Le bon prof.  Dans ce livre, on entre en conflit frontal avec la « nouvelle vérité ».  En effet, en plein « renouveau pédagogique », voici un ouvrage qui décape, littéralement, et nous sort de ces tristes zones embourbées jusqu’au cou par le prêt-à-penser de la pensée unique...Louise V. LabrecqueThu, 05 Feb 2009 01:00:00 -0500Nous sommes tous Kafkahttps://www.themetropolitain.ca/articles/view/387https://www.themetropolitain.ca/articles/view/387On commence à ouvrir les yeux lentement sur les vrais rapports qui lient l’auteure à Kafka, et cela, dès la première page.  Les métamorphoses, c’est bien connu, s’opèrent lentement, de fil en aiguille ; mais pas ici.  C’en est presque frustrant, car déjà on sait que le suicide, réellement la mort, est imminente, à la toute fin...Louise V. LabrecqueThu, 15 Jan 2009 02:00:00 -0500Un exil à la fois intérieur et extérieurhttps://www.themetropolitain.ca/articles/view/115https://www.themetropolitain.ca/articles/view/115Un exilé, c’est quelqu’un qui a des souvenirs différents.  Et qui revient de loin .  En littérature, il est facile de les reconnaître, ceux-là qui bâtissent sur l’expérience passée afin de recréer la vie présente, riche et sensible.  Souvent, leur grande sagesse inspire un choix de vie, un changement de position, un peu comme le fait de changer de lunettes, ou de coiffer ses cheveux la raie sur l’autre côté...Louise V. LabrecqueThu, 18 Dec 2008 11:00:00 -0500Le festin luhttps://www.themetropolitain.ca/articles/view/126https://www.themetropolitain.ca/articles/view/126Le repas est un acte social.   Il est le rituel par excellence de la socialisation, soutenu, à partir du dix-neuvième siècle, par un nouveau discours alimentaire, tout à la fois hédoniste et normatif...Louise V. LabrecqueThu, 27 Nov 2008 11:00:00 -0500La Fonderie Darling: un espace de création uniquehttps://www.themetropolitain.ca/articles/view/144https://www.themetropolitain.ca/articles/view/144« Il n’y a pas plus québécois qu’un Québécois ! »  Voici une maxime résumant à elle seule un type de québécitude bête à pleurer, un complexe en somme.  De ce genre de cliché, de préjugé, de formule toute faite, impossible de ne pas faire matière à réflexion lorsque l’on visite la Fonderie Darling, nichée au cœur du Faubourg des Récollets, dans le « Quartier Éphémère ».  Par sa mission, cet endroit étonnant oblige à sortir de soi et des sentiers battus, pour entrer de tout son long dans l’Autre, dans ses différences et complexités...Louise V. LabrecqueThu, 13 Nov 2008 05:00:00 -0500Un peu de dignité SVP !https://www.themetropolitain.ca/articles/view/404https://www.themetropolitain.ca/articles/view/404C’était un soir d’automne, un jeudi soir qui aurait pu être banal.  Je marchais en direction du théâtre St-Denis.   J’étais en avance au rendez-vous, un concert-bénéfice de la Fondation Garceau fondée par Brigitte Garceau et l’Institut des affaires publiques de Beryl Wajsman, venant en aide aux démunis, notamment des enfants...Louise V. LabrecqueThu, 30 Oct 2008 11:00:00 -0400Sébastien Dhavernas: un souffle nouveau en politiquehttps://www.themetropolitain.ca/articles/view/199https://www.themetropolitain.ca/articles/view/199C’est le portrait d’un homme intègre que je vous présente aujourd’hui.  En le rencontrant et en discutant avec lui de ses idées et de ses priorités, j’ai pu percevoir un homme pour qui le dialogue, l’ouverture aux autres et la compassion sont réellement les moteurs de l’action, notamment politique...Louise V. LabrecqueThu, 02 Oct 2008 22:00:00 -0400La fonderie Darling : un espace de création uniquehttps://www.themetropolitain.ca/articles/view/224https://www.themetropolitain.ca/articles/view/224 Il n’y a pas plus québécois qu’un Québécois ! » Voici une maxime résumant à elle seule une québécitude bête à pleurer, un complexe en somme. De ce genre de cliché, de préjugé, de formule toute faite, impossible de ne pas faire matière à réflexion lorsque l’on visite la Fonderie Darling, nichée au cœur du Faubourg des Récollets, dans le « Quartier Éphémère »...Louise V. LabrecqueThu, 18 Sep 2008 08:00:00 -0400